Côté grand-mère paternel : les Verrié
Votre arrière grand père, Alexandre Verrié que l’on appelait le Pépé Sandrou, était propriétaire à Saint Benoît, un petit village au-dessus de Carmaux.
Il possédait des terres, des près, des vignes et une maison de maître dans le village.
Il s’était fait construire sa maison personnelle, place de l’église et il avait hérité aussi d’une vieille maison attenante.
Il épousa Mélanie Azemar de Laboujassié ou de Canitrot, une colline au-dessus de Carmaux entre la route de Monestiés et la route de Mirandol Bourgnounac.
Ils ont eus 4 enfants, dans l’ordre des naissance :
- La fille aînée, la mère de Rose. J’ai oublié son nom
-Moïse, le seul garçon. Il est mort à la guerre de 14-18 et a laissé une veuve et un fils Pierrot, plus jeune que votre père Louis.
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- Marguerite, votre grand-mère et la dernière dont j’ai oublié le nom car elle est morte jeune. C’est la mère de Lucile et Paul qui ont été élevés par les grands-parents.
Votre grand-mère s’appelait Mélanie, Jeanne, Henriette, Marguerite Verrié mais elle s’est toujours fait appeler Marguerite ou Margot. C’était courant de se faire appeler par son second prénom.
La famille Verrié était assez riche, bourgeoise.
Votre grand-mère Marguerite fut élevée à l’école religieuse de la Tour à Carmaux.
C’est là qu’elle a connu ma mère, Camille Marty qui était à la même école.
Lors de la séparation de l’église et de l’état, elle quitta la Tour pour aller dans une autre école religieuse indépendante à Albi.
Rose possédait un café à Carmaux sur la route nationale allant d’Albi à Rodez.
C’est là que Marguerite a connu son futur mari Auguste, Antoine, Firmin Jaladieu.